1 △ QUI ETIEZ-VOUS AVANT D'ARRIVER A OJAI?
Fille d'un ancien drogué devenu businessman et d'une danseuse de cancan, elle vient d'une classe sociale aisée. Depuis sa plus tendre enfance elle est née d'une cuillère d'or dans la bouche et a toujours été habituée par le luxe. Habitante d'une villa énorme, dix chambres et un salon d'une longueur équivalente à deux maisons d'Ojai, elle est un peu serrée ici. Depuis son plus jeune âge elle savait les valeurs que devait avoir une femme, à l'âge de douze ans elle se tenait déjà comme étant mademoiselle perfection et personne d'autre. Lydia est née en France, à Paris (sa mère étant une danseuse de cancan au Moulin rouge), elle a suivit des cours de danses, mais s'est vite rendu compte que ce n'était pas faite pour elle. Non elle, elle aspirait à d'autres rêves. Elle rêvait d'être reconnue aux Etats-Unis, elle croyait dur comme fer au rêve américain. Elle ne trouva jamais le courage d'en parler à ses parents, sachant pertinemment qu'ils pensaient qu'elle était vouée à l'échec, alors qu'ici, elle avait déjà un nom voir un empire. Tout le monde la connaissait à Paris, déjà pour son sens inné de la mode mais aussi pour son caractère de pimbêche. Seulement, Lydia est une personne plutôt indépendante, et elle ne demanda pas l'avis de ses parents, elle prit un billet d'avion pour la Californie ayant été contacté par un célèbre styliste. Elle prit soin d'emmener TOUTES ses affaires, elle comptait bien faire sa nouvelle vie aux Etats-Unis.


2 △ COMMENT ÊTES-VOUS ARRIVÉ A OJAI?
Dès qu'elle avait posée le pieds sur le sol américain, elle était tombée sur un chauffeur de taxi assez louche. Mais bon elle n'allait pas chipoter, peut-être que c'était cela la mentalité américaine. Elle monta dans le taxi et sans qu'elle le veuille, elle tomba dans un profond sommeil, rien qu'un petit somme, le voyage l'avait épuisé.
REVEIL. Lydia ouvrit les yeux, combien de temps avait-elle dormit ? Où était-elle ? Quelle heure était-il ? Pour une fois la blonde commença à paniquer, la portière du conducteur de taxi était grande ouverte, il faisait nuit et frisquet. Elle fronça les sourcils, ça devait être une mauvaise blague. Il me semblait bien que ce chauffeur était louche, il m'a peut-être enlevé, regardez où j'ai atterri ! Lydia sortit de la voiture, elle marcha quelques minutes sans rien voir, peut-être même qu'à un moment ou à un autre elle tomberait dans un vide, on y voyait rien ici. Une lueur au loin lui donna le courage de continuer son chemin, et quand elle y arriva elle paniqua davantage. Elle ne savait vraiment pas quelle heure il était mais il n'y avait personne dans les alentours. Elle toqua à une porte, personne ne répondit. Je vais continuer mon chemin je trouverais sûrement un bar ou quelque chose comme ça. Effectivement elle trouva signe de vie quelque part, mais ce n'était pas un bar, juste une petite boutique. Quand elle y entra, on aurait dit qu'on l'attendait. Elle s'avança vers un jeune homme qui l’accueillit froidement, puis elle expliqua son cas. Vous auriez pas un portable ou un téléphone que je puisse appeler ? Le chauffeur de taxi m'a emmené un peu plus loin sur le chemin là-bas ! A mon avis, un psychopathe.. bref, j'aimerais téléphoner, s'il vous plaît. Elle fit ses yeux doux, cela marchait tout le temps avec les hommes, mais là, c'est comme si elle avait été invisible.

3 △ COMMENT RESUMERIEZ-VOUS VOTRE VIE MAINTENANT ?
Il lui répondit qu'il n'y avait pas de réseaux ici, puis le lendemain elle rencontra mrs. rosewood. Il lui raconta le fait qu'il n'y avait pas de réseau ici, pas d'internet ni de portable. Et quand elle lui parla de cette légende, Lydia se retint de pouffer de rire. C'était un délire ici ! C'était un micro-village, tout le monde connaissait tout le monde, tout le monde se saluait dans la rue, tu m'étonnes qu'ils croyaient les sornettes de cette femme. Et même si quelques semaines plus tard il y eut des disparitions, Lydia était persuadée que c'était des coups montés. Elle ignorait pourquoi, mais elle n'y croyait pas du tout. Cette mrs. rosewood ne lui faisait pas peur, ni ces garçons avec un regard destructeur à la boutique. Elle savait juste qu'elle partirait bientôt parce que sa vie n'était pas vouée à ternir dans ce trou à rat avec de pauvres fous qui croyaient dur comme fer à une légende racontée par une madame un peu dérangée mentalement. En attendant de trouver une solution, elle faisait la chipie dans ce village en faisant la misère à ces filles tellement naïve et faible. Ici rien n'avait l'air de Paris ni des Etats-Unis, si vous les auriez tous habillés avec les habits du style far-ouest, on aurait cru se trouver dans un autre monde. On est dans un autre monde. Une VDM quoi.

hors jeu

↝ prénom(s) marilyne ↝ pseudo jackie chan ? ↝ âge quinze oreos ↝ où avez-vous connu le forum bazzart ↝ fréquence de connexion par semaine cinq jours sur sept ↝ commentaire ? questions ? ce design et ce contexte