On avait 2 sacs bourrés d’herbe, 75 plaquettes de mescaline, 5 feuilles complètes d’acide en buvards, une salière à moitié pleine de cocaïne, une galaxie multicolore de remontants, sédatifs, hilarants, larmoyants, criants, en plus une bouteille de tequila, une bouteille de rhum, une caisse de bière, un demi litre d’éther pur, et deux douzaines de Poppers. Non qu’on ait eu besoin de tout ça pour le voyage, mais quand On démarre un plan drogue, la tendance, c’est de repousser toute limite.
Lundi, le vingt et un janvier. Le premier jour de travail de la semaine parmi tant d'autres tout et aussi merdique les uns que les autres, d'ailleurs. Certains pourraient pensés qu'en travaillant comme infirmière à la clinique, la journée serait éprouvante et par le fait même productive, mais dans le petit village qu'est Ojai, c'est tout compte fait le contraire, étant donné le peu d'habitants qui habite la ville, c'est-à-dire au nombre de quatre-vingt-cinq pas plus, puisque chaque nouveaux arrivants causes la mort d'un ancien, et pas moins, puisqu'il tente de maintenir ce nombre pour une raison qui nous aient tous inconnue.
C'est alors, au petite aurore du matin, que je pris l'initiative de délaissé mon lit, pour prend mon petit déjeuné, en compagnie de mes colocataires, Autumn et Julian, qui n'était certes pas encore levé, donc je me lançais dans la préparation de celui-ci, avant d'aller les réveillés. Une fois tous à table, nous mangions en discutant des choses banales de la vie, quelques fois, les confidences sont au rendez-vous, mais pas ce matin, j'avais eu ma dose de révélation la nuit dernière avec Julian. Le déjeuner terminé, je m'occupais de la vaisselle, puis m'attardais finalement à ma tenue pour le boulot, un simple uniforme irais pour aujourd'hui et des vêtements de rechanges dans le cas ou je ne décidais de rentré plus tard dans la journée, puis je quittais finalement mon habitation vers mon lieu de travail à quelques minutes à pied de mon domicile. Une longue journée m'attendais étant donné le peu de visite que nous ayons durant notre heure de travail à moi et Dorian, le médecin de la clinique. Entre les mises à jours au dossiers et le classements, il n'avait pas grand chose à faire au finale, c'est donc pourquoi vers les quatre heures et demi, je délaissais ce que j'étais en train de faire pour prendre mon temps de pause ainsi que pour me changer ensuite, et quitté les lieux, toutefois, je m'attardai un moment puisque qu'Ethan me salua, puis me proposa une clope que j'accepta, puis il enchaîna,
« Dire que je finis que dans une heure, ça ma déprime. » dit-il en aspirant une nouvelle fois sur sa cigarette tandis que j'allumais la mienne.
« Alors, pense à y retourné, toute façon y'a que ça à faire. » lui lançais-je finalement au moment ou il jetais un œil derrière lui, se retournant ensuite vers moi, puis par la même occasion, il vint glissé sa main dans la mienne, alors, qu'il tentais de me faire bougé en me devançant de quelques pas, je m’obstiner à ne pas bougé. Elle attendais une explication, et elle ne comptais par bougé avant de savoir se qui avait en tête.
« Et si on allait fumer quelque chose ? Fuck le travail, j’ai juste envie d’aller me défoncer. » me murmura-t-il finalement. Proposition alléchante, je devais me l'avoué. Deux options s'offrait à moi, l'invitation d'Ethan ou broyer du noir à la maison. Le choix n'avait pas été des plus compliqué, c'est sur.
« Et je sais exactement où aller » Quel idée avait-il dans la tête encore une fois? Probablement, toujours la même fameuse idée, coucher avec moi. Je ne lui donnerais surement pas , du moins pour l'instant. Je lui adressa un bref avant de terminé la cigarette, puis, la jeter un peu plus loin.
« Puisque c'est proposé aussi gentiment, pourquoi pas! » finis-je pas lui répondre. Sur ces bonnes paroles, on quittais la clinique, je retirais ma main de la sienne, j'allais certainement pas m'enfuis, de toute façon à quoi bon, puisqu'il me trouverais surement et deuxièmement, parce qu'entre m'archarnée sur ma pitoyable vie à Ojai, il m'était évidement qu'une fin de journée en compagnie d'Ethan serait plus agréable, c'est pourquoi, je commençais donc à marché à ses côtés dans le village pour nous arrêté à la station d'essence abandonné. Je me retournais alors vers mon accompagnateur
« alors, c'est ça ton excellente idée? La clinique aurait très bien pu faire l'affaire! » le questionna t-il avant de me dirigé vers la structure encore intacte de la station pour m'y adossé un moment, avant de me laissé glissé contre le mur, afin de terminé ma descente sur l'asphaltes.